J'aime la sensation qu'il a sur moi. Cette dentelle noire délicate et exclusive - ouverte à l'avant, ouverte à l'arrière. Tant de peau, si peu de tissu. Les minuscules boutons frottent doucement contre ma peau lorsque je bouge. Ils ne sont pas censés se fermer, mais seulement jouer. Je sens chaque pas, chaque respiration. Et entre les deux... il y a moi. Brut. Mouillée. Réelle. Je ne me contente pas de le porter, je vis en lui. Je vis en lui. Et toi ? Tu ne te contenterais pas de le regarder. Tu le respirerais.